La Peste est un roman en cinq parties. Il faut noter que l'évolution de l'épidémie structure le roman. Au début, il y a un crescendo, puis un «palier» et finalement un decrescendo relativement rapide.
Partie I: Découverte progressive de la peste (pp.11-71)
- La ville et ses habitants (pp.11-15)
- L'apparition des rats (pp.16-30)
- Les carnets de Tarrou (pp.31-37)
- L'accroissement rapide du nombre des victimes (pp.38-44)
- Les réflexions de Rieux (pp.45-49)
- Joseph Grand (pp.50-55)
- Les hésitations des autorités (pp.56-59)
- Cottard - la lutte contre la peste est engagée (pp.60-71)
Partie II: Progrès vertigineux de l'épidémie (pp.75-169)
- Premières conséquences de l'état de peste (pp.75-84)
- Une prise de conscience progressive du fléau (pp.85-98)
- L'Eglise face à la peste - le premier prêche du père Paneloux (pp.99-106)
- Les réactions des Oranais - les problèmes de Grand (pp.107-112)
- Les tribulations de Rambert (pp.113-117)
- Arrivée des chaleurs - fin du mois de juin (pp.118-128)
- Conversation entre Rieux et Tarrou (pp.129-137)
- Les formations sanitaires volontaires, l'héroïsme de Grand (pp.138-145)
- Les efforts de Rambert pour fuir la peste (pp.146-169)
Partie III: Le règne de la peste (pp.173-190)
Une sorte de tableau de la situation au moment où le fléau atteint son paroxysme.
Partie IV: Les signes du déclin (pp.193-267)
- «Les progrès d'une curieuse indifférence» (pp.193-204)
- La décision de Rambert de rester à Oran (pp.205-213)
- La mort de l'enfant Othon (pp.214-222)
- Le second prêche et la mort du père Paneloux (pp.223-236)
- Le camp d'isolement (pp.237-245)
- La naissance d'une amitié (pp.246-259)
- L'agonie de Grand et sa résurrection (pp.260-267)
Partie V: Reflux du fléau et sa disparition (qui est donnée comme provisoire!) (pp.271-310)
- L'amélioration de la situation (pp.271-277)
- La fin des carnets de Tarrou (pp.278-283)
- La mort de Tarrou (pp.284-294)
- La joie de la victoire (pp.295-302)
- Conclusion de la chronique (pp.303-310)
(cf. Profil d'une ouvre p.23)