Pour Bernard Rieux, « l'essentiel est de bien faire son métier ». A la lumière des événéments qui se sont déroulés à Oran et sans vous limiter à Rieux, expliquez et discutez cette pensée du docteur
Intro :
- Oranais doivent faire face à une période de temps difficile
- Rieux dit : « L’essentiel est de bien faire son métier. »
- Bien faire son métier: aide pour Rieux d’oublier cette souffrance ?
- Est-ce que l'attitude des autres personnages est-elle la même ?
I) Rieux :
- Prise de conscience rapide : premier qui se rend compte du fléau
- Motivations de son action contre le fléau se trouvent dans son métier de médecin et métier d'homme: devant le mal il est essentiel de « bien faire son métier »
- Bonheur collectif devient sa priorité
- Rejeter tout bonheur personnel: il faut se distancier de ses souffrances pour lutter contre les souffrances collectives (abstraction)
- Seule chose qui compte: être un bon médecin et sauver les gens
- Il nous montre son engagement
- Il agit sur le terrain et essaie de lutter de façon concrète contre le fléau
- Son métier est pour lui l’occasion de lutter contre « la création telle qu’elle est »
- Recherche de tâches concrètes et quotidiennes pour combattre la souffrance et la mort
- Bien faire son métier signifie aussi bien faire son métier d’homme : manifeste sa solidarité avec tous ceux qui souffrent (ex. fils Othon, Tarrou)
II) Rieux est le premier d’agir, mais il n’est pas le seul :
- Grand : s’engage par des petits efforts quotidiens
- Mairie : faire les statistiques, réviser le tarif, travailler sur les taxes
- Pendant le fléau : évalue les statistiques, il fait donc bien son métier
- Tarrou : création des formations sanitaires volontaires
- Seul recours contre la peste, seul moyen pour vaincre le fléau
- S’engage auprès de ceux qui souffrent
- Bien faire son métier: risquer sa propre vie pour aider
- Rambert : engagement dans les formations sanitaires volontaire
- Au début : « ne sait pas quel est son métier »
- Se décide à la fin de faire un bon travail d’assistance
- Croissance du fléau implique une croissance des gens qui veulent « bien faire [leur] métier »
Conclusion :
- N’est-il pas important de toujours bien faire son métier, non seulement en temps de crise, mais aussi dans la vie quotidienne ? (3e partie possible!)