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Zadig est un ministre digne et exemplaire: « Son principal talent était de démêler la vérité que tous les hommes cherchent à obscourcir »
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Zadig, ministre, incarne un idéal:
- Il accepte « le pouvoir sacré des lois »
- Il est un simple exécuteur, il ne fait rien d'autre qu'appliquer les lois telles qu'elles sont
- Zadig n'est ni arbitraire, ni vénal (non pas comme Yébor ou l'assemblée du grand desterham)
- Il accepte des avis contraires, il est tolérant
- Il fait preuve de mesure, de bon sens, d'impartialité, d'équité (= sens de la justice) et d'humanité
- Il défend une justice qui œuvre au service des citoyens en les intimidant et en les secourant (contre la justice dont il fut victime au chapitre III)
- Zadig incarne l'idéal du pouvoir éclairé: du moins, la branche judiciaire est éclairée (cf. qui applique l'esprit critique, qui est sage)
- Zadig incarne le roi Salomon: statue avec sagesse, veut découvir l'être et non pas s'arrêter au paraître, doté d'un cœur qui sache écouter, défend les vivants et l'idéal humaniste
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Zadig se trouve donc toujours sur la voie ascendante
Critiques
Critique sociale:
- Courtisans qui cherchent à séduire et ne jugent que par l'apparence
- Tous les courtisans sont fâchés puisqu'ils ne supportent pas cette rivalité
- L'Envieux n'a rien retenu de la générosité de Zadig